Toute la journée
CEPSI 530-1
3744, rue Jean-Brillant
Montréal (QC) Canada  H3T 1X8

S’approprier d’une chose, d’un domaine ou d’un champ, c’est s’en saisir, les faire siens, les transformer en propriétés. Et ces actes d’appropriation dont nous sommes les témoins, les acteurs ou les objets se distribuent à travers des espaces différents : le politique, l’économique, le juridique. Deux registres émergent de l’histoire du mot « appropriation » : la propriété ou l’assimilation (on s’approprie un bien, un objet, on dissout une identité en l’intégrant dans une autre) ; la propreté ou l’adaptation (on parle ainsi de l’« appropriation d’une chambre », mais aussi d’une chose qui est « propre à », « apte à » servir).

L’enjeu de cette semaine sera de tenter de penser ces deux registres du processus d’appropriation depuis deux perspectives alternées et entrelacées. 

Titulaire : Laura Odello

Pour en savoir plus, cliquer ici

Philosophie et cinéma : l'appropriation de l'espace public
Consulté 1177 fois