Débute à 
Salle 4030
2375, chemin de la Côte-Sainte-Catherine
Montréal (QC) canada  H3T 1A8

Conférence organisée par le Groupe de théologies africaines subsahariennes (GTAS) avec Josette Nonone, docteure en théologie.

Résumé : Après des siècles de conquêtes, de colonisation et de domination, des pays, des continents et des territoires sont toujours en situation de dominés. Des hommes et des femmes sont considérés comme « pauvre non-personne ».

En 1968, l’expression « théologie de la libération » apparaît pour la première fois avec Gustavo Guttiérez. C’est une théologie authentiquement chrétienne, qui se veut universelle en se référant à la Bible. Ce courant de pensée théologique prétend offrir une réponse à toutes les communautés dans lesquelles « le pauvre est l’opprimé, l’exploité, le dépouillé du fruit de son travail, le spolié de son être d’homme » (Guttiérez 1973).

Cinquante ans plus tard, dans une perspective de reconstruction, sous quelle forme la théologie de la libération peut-elle œuvrer pour les femmes et les hommes vivant dans les anciennes colonies occidentales ?

Josette Nonone détient une maîtrise et un doctorat en Sciences des religions de l’Université de Montréal. Elle est membre du Groupe de théologies africaines et afro-descendantes et de l’École lacanienne de Montréal.

La théologie de la libération dans une perspective de reconstruction