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(QC) Canada

Oeuvrer pour des organisations internationales dans des pays qui ne respectent pas les droits démocratiques peut soulever des questionnements éthiques. Dans le domaine de la coopération, et en matière d’accès aux populations qui ont besoin d’aide, la volonté des régimes en place peut faire toute la différence. Faut-il collaborer ou dénoncer ? La fin justifie-t-elle les moyens ?

François Audet, Ph.D. (relations internationales) (en cours), directeur général de l’Observatoire canadien sur les crises et l’aide humanitaire (OCCAH), affilié au CERIUM de l’Université de Montréal. Il a travaillé durant 17 ans, dont 8 ans à l’étranger, pour des organisations internationales, dont Care International et la Croix-Rouge.

 

Coopération internationale dans des contextes dictatoriaux : complicité ?
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